Les hommages à Z.Le Rouzic et J.Miln


Hommages aux pionniers de l'archéologie locale
JAMES MILN    ZACHARIE LE ROUZIC


Photo ancien musée 2.jpg
l'ancien musée de préhistoire
La cérémonie s'est tenue à l'emplacement de l'ancien musée, rue du Tumulus.
Une cinquantaine de personnes avaient répondu à l'invitation de la mairie pour cette cérémonie particulièrement bienvenue en clôture des commémorations du 150è anniversaire de la naissance de Zacharie... 20 ans après la destruction de l'ancien musée, et 30 ans après l'ouverture du nouveau....
Successivement, Mr le Maire, Mme la directrice du Musée, et Mme G.Wilhelm, arrière petite fille de Zacharie Le Rouzic, ont pris la parole, le premier pour souligner l'importance de cet acte de mémoire, hommage aux pionniers de la recherche archéologique à Carnac, et aux sauveurs de notre patrimoine mégalithique, la seconde en retraçant l'histoire de ce musée créé dès 1882, et remplacé 100 ans plus par par l'actuel, la troisième, enfin, qui a replaçé avec émotion l'événement dans le contexte familial.
Un panneau explicatif a été installé, ainsi que deux pierres provenant de l'ancien musée, portant le nom des deux grands chercheurs que furent James Miln, et Zacharie Le Rouzic, et remaçonnées quasiment à leur emplacement d'origine.
G.Wilhelm conduisit ensuite les personnes présentes  sur la tombe familiale toute proche, la où Z.Le Rouzic, G.Bailloud reposent pour l'éternité sous un monument en forme de cairn.
Une réception attendait ensuite l'assistance  au Musée .
photos Michel Rialain



La cérémonie au cimetière

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La place aujourd'hui avec les stèles à la mémoire de Zacharie Le Rouzic et James Miln
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M.Lepick, Mme E.Vigier, Mme G.Wilhelm

L’hommage de la Société Préhistorique Française
 à Gérard Bailloud

"Le conseil d’administration de la Société préhistorique française a souhaité rendre hommage à Gérard Bailloud , disparu en 2010 : d’abord à son ancien secrétaire général (1965-1983), initiateur d’un renouveau du Bulletin, également président l’année 1970, mais aussi, bien sûr, au chercheur qui, avec quelques autres, a fondé l’étude de la période néolithique en France, tout en se consacrant, au début de sa carrière, à diverses missions essentielles en Afrique orientale et au Maroc. Cette initiative, quelque 25 années après la parution du volume d’hommage édité en 1986 par Picard (fig. 2), sous la direction de Jean-Paul Demoule et de Jean Guilaine (Demoule et Guilaine, 1986), devait s’inscrire dans une logique distincte de celui-ci. Après avoir consulté les principaux acteurs de ces domaines de recherche, qui avaient connu Gérard Bailloud – pour certains il y a plus d’un demi-siècle ! –, il a paru opportun de rassembler les diverses contributions en prolongement d’une étude biographique détaillée réalisée par l’un de nous (Ph. S.). Ces textes dégagent les apports de ces recherches et en soulignent aussi la composante humaine, grâce à des témoignages qui marquent, certes, un personnage, mais aussi une époque sur laquelle un regard rétrospectif est riche d’enseignements pour tous : l’Afrique, Éthiopie, Tchad et Maroc ; le Néolithique de France dans son contexte occidental, Bassin parisien, Centre- Ouest, Bretagne, Corse, avec des éclairages particuliers, « années URA 12 », « archéologie de la mort »… ; et sans oublier l’âge du Bronze."








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